Bien nourrir son chat
Jusqu’à trois ou quatre mois, le nombre idéal de repas est
de trois par jour. Après huit mois, on peut s’en tenir à deux repas.
Toutefois, il est parfaitement possible de ne donner qu’un seul repas si des problèmes pratiques vous y obligent.
Par ailleurs, si vous le nourrissez avec des aliments secs, le chat pourra aussi manger la ration à son rythme durant la journée.
Toutefois, il est parfaitement possible de ne donner qu’un seul repas si des problèmes pratiques vous y obligent.
Par ailleurs, si vous le nourrissez avec des aliments secs, le chat pourra aussi manger la ration à son rythme durant la journée.
Faut-il tenir compte de son âge et de son mode de vie ?
L’âge, le mode de vie de votre chat et le fait qu’il soit castré
ou non, sont autant d’éléments à prendre en considération pour
son alimentation.
En période de croissance, le chaton a des exigences nutritionnelles (en quantité et en qualité) supérieures à celles d’un chat adulte. Il a besoin :
En période de croissance, le chaton a des exigences nutritionnelles (en quantité et en qualité) supérieures à celles d’un chat adulte. Il a besoin :
- d’un apport élevé en protéines pour favoriser un développement harmonieux de son organisme (musculature, ossature, organes…),
- de matières grasses en quantité suffisante pour couvrir ses besoins énergétiques,
- d’un apport en minéraux (calcium et phosphore) indispensable à une bonne formation osseuse,
- de vitamines, utiles aux fonctions vitales.
Par ailleurs, lorsque le chat a atteint l’âge adulte, vous devez
établir un régime fait de compromis entre les exigences nutritionnelles
et sa légendaire gourmandise, afin de lui permettre d’avoir un bon
équilibre. D’avoir, une bonne "hygiène de vie",
pourrait-on dire. Vous lui donnerez de la viande et du poisson,
bien sûr, mais en quantité raisonnable. Vous y ajouterez
des céréales et des légumes. Vous pouvez aussi utiliser tout
simplement des aliments préparés, dans les quantités indiquées
par les fabricants.
II faut également savoir qu’un chat casanier dépense peu de calories, Quant au chat castré, son métabolisme étant modifié pendant les quatre à six mois qui suivent l’opération, il est bon de diminuer sa ration ,alimentaire. Enfin, lorsque le chat est âgé, il convient de réduire et d aménager sa ration : moins de protéines et de sels minéraux, plus de fibres et de vitamines
Tous ces éléments ont été pris en compte dans l’alimentation préparée, Alors, rassurez-vous, votre chat a de beaux jours devant lui. Il peut, en effet, vivre en bonne santé pendant près de vingt ans.
II faut également savoir qu’un chat casanier dépense peu de calories, Quant au chat castré, son métabolisme étant modifié pendant les quatre à six mois qui suivent l’opération, il est bon de diminuer sa ration ,alimentaire. Enfin, lorsque le chat est âgé, il convient de réduire et d aménager sa ration : moins de protéines et de sels minéraux, plus de fibres et de vitamines
Tous ces éléments ont été pris en compte dans l’alimentation préparée, Alors, rassurez-vous, votre chat a de beaux jours devant lui. Il peut, en effet, vivre en bonne santé pendant près de vingt ans.
Doit-on diversifier la nourriture ?
Les chats sont particulièrement difficiles, et ils apprécient
généralement que leurs menus soient variés. Il est d’ailleurs utile
de présenter des aliments différents aux chatons dès les premiers
mois, car cela élargit la palette de leurs goûts.
Le fruit
d’un savant dosage
L’alimentation doit pouvoir satisfaire
les besoins de l’animal en protéines,
lipides, glucides, minéraux, vitamines
et oligo-éléments. Ainsi l’équilibre
alimentaire repose-t -iI sur un dosage
précis en viandes, céréales, légumes,
levure, huile et minéraux. Une
opération pas très facile à réaliser
dans sa cuisine, on l’imagine !
Pour un chat mâle de 4.5 kg, il faut
85 g de viande maigre, 35g de
céréales, 35g de légumes verts et
20 g d’un mélange de levure sèche,
d’huile et de composé minéral
vitaminé (1). Ces proportions
changent si l’on utilise de la viande
grasse.
De plus les besoins nutritionnels des
chats varient en fonction de leur âge,
de leur activité physique et de leur
état physiologique (reproduction ou
maladie, par exemple).
On ne nourrit évidemment pas un
chaton comme un chat adulte.
Or, un régime mal équilibré, basé sur
des restes de table ou des aliments
trop riches, peut engendrer l’obésité,
un dysfonctionnement du foie, des
troubles digestifs, une insuffisance
rénale ou encore des problèmes
osseux. Autrement dit, réduire la
durée de vie de l’animal.
Comme l’indique Roger Wolter
professeur de Nutrition à l’Ecole
Nationale Vétérinaire d’Alfort,
« la ration ménagère demeure assez
compliquée et difficilement précise.
Les aliments préparés grâces aux
méthodes industrielles offrent la
possibilité d’un rationnement plus
sûr, plus précis, plus pratique et
généralement plus économique ».
Dans quoi doit-il manger ?
Les animaux doivent avoir leur propre vaisselle : un plat pour la
nourriture et un bol pour l’eau. Quand le repas est terminé, écuelle
et bol doivent être nettoyés. En effet, comme leurs maîtres les animaux.
ne supportent pas le manque d’hygiène. Par ailleurs, veillez à laisser de
l’eau fraîche à leur disposition en permanence.
Y a t-il des aliments a éviter ?
Les viandes fraîches de mauvaise qualité – trop riche en « nerfs »
ou en matière grasses – doivent être proscrites, ainsi que le foie en
excès. Il en va de même pour les féculents et farineux (légumes secs,
par exemple) quelque peu difficiles à digérer.
Quant au lait, les chats l’apprécient mais peuvent parfois mal le digérer. Il est donc préférable de le couper avec de l’eau, ne serait-ce que pour inciter l’animal à boire. Le chat a, en effet, l’impérieuse nécessité de s’hydrater.
Quant au lait, les chats l’apprécient mais peuvent parfois mal le digérer. Il est donc préférable de le couper avec de l’eau, ne serait-ce que pour inciter l’animal à boire. Le chat a, en effet, l’impérieuse nécessité de s’hydrater.
Quand faut-il recourir à une alimentation particulière ?
Le mauvais fonctionnement d’un organe (coeur, foie, rein….) modifie
les besoins nutritionnels de l’animal. Des régimes spéciaux prescrits
par un vétérinaire – et par lui seul – peuvent pallier ce dérèglement.
Après avoir détecté l’origine du trouble, il pourra conseiller une alimentation
spéciale. Il existe, en effet, sur le marché des aliments diététiques que le
vétérinaire peut prescrire, en les associant à un traitement.
Comment vérifier que l’animal est en bonne santé ?
Il existe quelques moyens très simples de savoir si la nourriture que vous
donnez à votre chat lui convient. S’il est adulte, vérifiez notamment que son
poids reste stable. Pour cela, il suffit de se peser seul, puis avec le chat… et
de calculer la différence. Surveillez également l’aspect de sa peau et de sa
fourrure. Un animal en pleine forme a un poil lisse et brillant.
Par ailleurs, vous pouvez affiner votre diagnostic en observant le bon fonctionnement intestinal de l’animal et son comportement dans la vie de tous les jours : entrain, appétit, tranquillité.
Si la santé de votre animal vous inquiète, n’hésiter pas à consulter votre vétérinaire.
Par ailleurs, vous pouvez affiner votre diagnostic en observant le bon fonctionnement intestinal de l’animal et son comportement dans la vie de tous les jours : entrain, appétit, tranquillité.
Si la santé de votre animal vous inquiète, n’hésiter pas à consulter votre vétérinaire.
L’herbe est-elle indispensable ?
L’une des premières choses que fait un chat lâché dans la nature après
avoir été enfermé, c’est de manger de l’herbe. En effet, cet animal ne mâchant
pas ses aliments, l’herbe l’aide à digérer, et surtout à régurgiter les touffes de
poils qu’il a avalées en faisant sa toilette. Qu’un chat vomisse après avoir
manger de l’herbe n’a donc rien d’inquiétant. En revanche, s’il en est privé,
il peut mal digérer et perdre l’appétit. Pour les animaux vivant en appartement
une barquette d’herbe à chat, à base de graminées, sera donc la bienvenue.
Les besoins
nutritionnels du chat
Comme tout être vivant, l’animal doit
trouver dans son alimentation
quotidienne les éléments
indispensables pour couvrir la totalité
de ses besoins :
les besoins d’entretien correspondant aux dépenses pour les fonctions vitales et d’activité,
les besoins de production nécessaires à la croissance, au travail ou à la reproduction.
les besoins d’entretien correspondant aux dépenses pour les fonctions vitales et d’activité,
les besoins de production nécessaires à la croissance, au travail ou à la reproduction.
Les nutriments apportés par les
aliments sont essentiellement des
sources d’énergie (pour les lipides et
les glucides) et des nutriments de
construction (pour les protéines et les
sels minéraux). Ils sont utilisés en
association avec d’autres éléments
indispensables tels que l’eau, les
vitamines et les oligo-éléments.
Tous les éléments nécessaires à la
vie doivent figurer dans la ration
journalière de manière très équilibrée.
Les besoins du chat en protéines sont
très élevés (presque deux fois plus
que ceux du chien).
Cet animal a aussi besoin d’un apport
en vitamine A, mais sans dépasser
certaines limites très précises. Par
exemple, un excès de foie – très riche
en vitamine A – peut lui être nuisible.
De même, un déséquilibre dans
l’apport en acides gras essentiels
peut entraîner un ternissement du
poil.
Les formules d’aliments préparés sont
établies de façon à respecter
scrupuleusement les besoins
spécifiques du chat, en quantité
comme en équilibre. Ils permettent de
lui offrir des rations précisément
dosées et pratiques d’emploi.
ACCESSOIRES ET NOURRITURE ICI
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